[Actualité] Groupe PSA Peugeot-Citroën

Merci,avec cette info ma nuit seras meilleur..  

Aura-t-elle un volant et quelques sièges?

Ce seras une DS essentiel,sans volant!!  

zebanx a écrit:Je viens de reprendre les slides du plan back in the race et en page 12, qui traite de la baisse du nombre de modèles, il est indiqué en bas de page "plateforme non PSA et marque propre DPCA non incluses".

Bien vu ! Ça change beaucoup de choses.

Sinon c'est une excellente idée de présenter un concept DS à un concours d'élégance, très chic.

Elle aura bien un volant et des sièges, mais probablement pas de chevrons,
comment çà je suppute.   

Je ne sais pas si ça a été publié

Ton lien est mort : "session expirée, veuillez recommencer".

Mince.... désolé je le retire....

Ça parlait de quoi?

Je viens de lire l'essai du dernier coupé Mercedes CL500 dans l'auto-journal. Ils sont enthousiasmés par le nouveau système Magic Body Control qui fait se pencher le véhicule à l'intérieur du virage comme une moto. La technologie ressemble beaucoup à celle du SC-CAR, qui a maintenant 20 ans... Si DS doit monter en gamme, cela passe peut-être par le retour de l'hydraulique et des systèmes actifs, quitte à les proposer en option comme le font Audi, BMW et Mercedes avec leur suspension 'intelligentes'. Audi est bien parvenu à s'imposer dans le HdG en misant sur son système Quattro.

La division automobile de PSA vient de passer dans le vert pour la première fois depuis 3 ans !!

Communiqué PSA :
Chiffre d’affaires du Groupe de 27,6 milliards d’euros, et de 18,6 milliards d’euros pour la division Automobile, stable par rapport au premier semestre 2013.
•Résultat opérationnel en forte progression, de 477 millions d’euros pour le Groupe, et de 7 millions d’euros pour la division Automobile.
•Free cash-flow positif de 1 514 millions d’euros. Hors éléments exceptionnels (cessions immobilières pour 130 millions d’euros) et charges de restructuration (-283 millions d’euros), le Free cash flow opérationnel est de 1 667 millions d’euros.

Ces résultats illustrent les premières réalisations du plan stratégique « Back in the Race », en termes de pricing power et d’amélioration de la compétitivité avec notamment l’abaissement du point mort du Groupe. A l’international, la croissance en Chine se poursuit avec succès, et le Groupe réduit ses pertes en Amérique latine et en Russie.

Des défis et des risques perdurent cependant au second semestre, avec notamment des incertitudes sur les pays émergents, la situation persistante des taux de changes défavorables, la faible reprise du marché en France, les impacts sur la rentabilité du passage à la norme Euro 6.2 et les risques accrus d’approvisionnement de nos usines.

« L’engagement de tous les collaborateurs du Groupe derrière le plan stratégique « Back in the Race » a permis à PSA Peugeot Citroën de récolter les premiers résultats de sa transformation. Pour autant, nous restons rigoureux et concentrés sur l’exécution de notre plan jusqu’à ce que notre redressement soit achevé» a déclaré Carlos Tavares, Président du Directoire de PSA Peugeot Citroën.

Au premier semestre 2014, le chiffre d’affaires du Groupe s’établit à 27 616 millions d’euros, stable par rapport au chiffre d’affaires du premier semestre 2013. Le chiffre d’affaires de la division Automobile s’élève à 18 610 millions d’euros, également stable par rapport au premier semestre 2013, le mix produit et l’effet prix, positifs, n’ayant pas compensé la variation de change très négative.

Le résultat opérationnel du Groupe s’élève à 477 millions d’euros, contre -100 millions d’euros[1] au premier semestre 2013. Le résultat opérationnel de l’Automobile s’élève à 7 millions d’euros contre -538 millions d’euros[2] sur la même période en 2013, bénéficiant en particulier d’un effet mix produit et prix positif, reflétant le succès des lancements récents des trois marques Peugeot, Citroën et DS et la politique de pricing power. Il correspond également à la poursuite de la politique de réduction des coûts fixes.

Ces effets viennent compenser l’impact négatif des changes de -251 millions d’euros. Avec sa quote-part dans les résultats pro forma de ses Joint Ventures DPCA et CAPSA au 1er semestre, le résultat opérationnel Automobile serait positif à 128 millions d’euros.

Les produits et charges opérationnels non courants s’élèvent à -100 millions d’euros en raison principalement des frais de restructuration de la division Automobile.

Le résultat financier est de -344 millions d’euros, inférieur de 99 millions d’euros à celui de fin juin 2013, cet écart correspondant essentiellement au produit exceptionnel perçu en 2013 lors la cession des titres BNP Paribas, tandis que les charges financières restent similaires à celles du premier semestre 2013. Le résultat net s’établit à -42 millions d’euros, en amélioration contre -433 millions d’euros au premier semestre 2013.

Le résultat opérationnel de Banque PSA Finance est de 172 millions d’euros, en recul de 26 millions d’euros par rapport au 30 juin 2013, traduisant l’évolution des marchés et la situation de refinancement de la banque. Le coût du risque progresse à 0,50%. En juillet, l’accord en vue d’un partenariat stratégique européen avec Santander a été signé, ce qui permettra de limiter le recours à la garantie de l’Etat Français.

Le résultat opérationnel de Faurecia s’établit à 311 millions d’euros, supérieur de 55 millions d’euros à celui du 30 juin 2013, sous l’effet de la croissance internationale et en particulier de la Chine.

Le free cash flow[3] s’établit à 1 514 millions d’euros, sous l’effet de l’amélioration de la marge brute d’autofinancement et du besoin en fonds de roulement (+ 1 139 millions d’euros sur la période), reflétant notamment les plans d’actions de réduction des stocks, et l’optimisation de la supply chain. Il est marqué par une forte saisonnalité liée à l’encaissement de dividendes sur le 1er semestre et au niveau d’activité affectant par ailleurs le besoin en fonds de roulement.

Hors charges de restructuring (-283 millions d’euros) et éléments exceptionnels pour 130 millions d’euros (essentiellement les produits des cessions d’actifs immobiliers), le free cash-flow opérationnel du Groupe est positif à 1 667 millions d’euros.

À fin juin 2014, les stocks totaux s’élèvent à 406 200 véhicules (y compris le réseau indépendant), en réduction de 30 400 véhicules par rapport à fin juin 2013.

La position financière nette des activités industrielles et commerciales au 30 juin 2014 s’élève à +224 millions d’euros contre une dette nette de -4 181 millions d’euros au 31 décembre 2013, prenant en compte 2 916 millions d’euros issus des augmentations de capital réalisées en avril et mai 2014.

La liquidité du Groupe s’établit à 15 024 millions d’euros, dont 4 150 millions d’euros de lignes de crédit syndiquées renouvelées, contre 10 140 à fin décembre 2013 et 3,550 millions d’euros respectivement.

Perspectives

Le Groupe s’attend à un marché automobile en Europe en 2014 en croissance de l’ordre de 3%, à une croissance de l’ordre de 10% en Chine, un marché en repli d’environ 7% en Amérique Latine, et à un marché en baisse d’environ 10% en Russie[4].

Le Groupe a pour objectif d’atteindre un free cash flow opérationnel Groupe récurrent positif au plus tard en 2016 et un free cash flow opérationnel cumulé de 2 milliards d’euros sur la période 2016-2018. Il a également pour objectif d’atteindre une marge opérationnelle[5] de 2% en 2018 pour la division Automobile, avec une cible de 5% sur la période du prochain plan moyen terme 2019-2023.

MickaBZH a écrit:Ça parlait de quoi?

C'était le dépôt officiel de DS en tant que Marque Automobile....

Merci pour les informations financières.

PSA engage un suivi bien plus strict de son cash flow depuis 1 an et cela paye.

L'amélioration est forte en Europe et en Chine, compensant les autres marchés.

A noter cependant que les résultats sont contrastés entre les 3 marques sur le semestre (cghiffres VP + VUL):

* DS = -9.6% (63.8KV vs 70.5KV)
* CITROEN = +7.2% (623.7KV vs 581.9KV)
* PEUGEOT = +5.6% (853.5KV vs 808.1KV)
TOTAL = +5.5% (1541.1 vs 1460.7KV)

Par l'effet des lancements, c'est Citroen qui progressera le plus au cours du deuxième semestre (parce que Cactus).

La situation de DS, qui a bénéficié de beaucoup d'argent en 2014 pour la Chine notamment, sera particulièrement scrutée car les résultats sont décevants (estimation PSA de 50KV en fin d'exercice).

Chiffres rassurants pour le semestre 1 de 2014, quand on sait qu'il y a encore plusieurs mois, les pertes mensuelles se chiffraient en millions d'euros.

Il faut que le groupe continue sur cette dynamique, et cela passe par la qualité des produits.   

DS C'est de l'investissement à moyen long terme (comme tout dans l'automobile) donc ca sert à rien de s'offusquer du résultat... c'est pas pour la goute d'eau que ca représente !
Il faut attendre 3-4 ans lorsqu'il y aura une vraie gamme pour "compter les points"

La première vague de DS en Europe était une façon de tater le terrain.
La seconde en Chine de faire du remplissage.
J'oses espérer que la troisième vague sera pour justifier le positionnement.

C'est très encourageant tout çà.

jbtk08 a écrit:DS C'est de l'investissement à moyen long terme (comme tout dans l'automobile) donc ca sert à rien de s'offusquer du résultat... c'est pas pour la goute d'eau que ca représente !
Il faut attendre 3-4 ans lorsqu'il y aura une vraie gamme pour "compter les points"

La première vague de DS en Europe était une façon de tater le terrain.
La seconde en Chine de faire du remplissage.
J'oses espérer que la troisième vague sera pour justifier le positionnement.

Totalement d'accord 

Il faut poursuivre et amplifier les résultats et se retrousser les manches,allez PSA!

PSA remonte spectaculairement la pente avec Carlos Tavares


Carlos Tavares, le nouveau dirigeant, est en avance sur son plan de marche (Crédits : reuters.com)

PSA devrait enregistrer un flux de trésorerie positif sur l'année 2014 et peut-être même... un bénéfice opérationnel. Les ventes ont augmenté de 5,5% au premier semestre, essentiellement en Europe et en Chine. Au bord du gouffre l'an dernier,

PSA Peugeot Citroën était au bord du gouffre. Mais, recapitalisé en début d'année, le groupe automobile français amorce un remarquable redressement. "Nous avons mis fin à la consommation de cash chez PSA", souligne fièrement Carlos Tavares ce mercredi, en présentant les résultats semestriels du constructeur français dont il est le nouveau président.

"C'est encourageant", mais "nous avons encore beaucoup à faire", ajoute le dirigeant, qui, il y a un an encore, était le numéro deux  de Renault. Le constructeur en crise, dont l'Etat et le chinois Dongfeng détiennent désormais 14% du capital chacun,  affiche au premier semestre un flux de trésorerie libre ("free cash flow") positif de 1,51 milliard d'euros ! Pas mal pour une groupe qui enregistrait plus d'un milliard de flux de trésorerie négatif sur l'année 2013.

Une marge semestrielle de 1,7%

PSA affiche un bénéfice opérationnel courant sur les six premiers mois de l'année. Et ce, pour la première fois depuis 2010, à 477 millions d'euros. Avec une marge de 1,7%. Malgré une légère contraction du chiffre d'affaires à cause des effets de change. Les seules activités automobiles affichent un profit opérationnel de 128 millions, avec une marge de 0,6%, très faible certes mais positive néanmoins. Le résultat net demeure toutefois négatif avec une perte de 114 millions d'euros.

PSA affirme avoir amélioré le prix de vente moyen de ses véhicules (avec un gain semestriel de 230 millions) avec une réduction des ventes à pertes en Amérique du sud et en Russie notamment. Dans ces deux régions, PSA compte réduire ses déficits de 50% sur l'année. Le groupe affirme avoir aussi réduit ses coûts de production et d'achats.

Pour améliorer ses résultats, PSA a aussi été bien aidé par une reprise du marché en Europe. Même si, hélas, la reprise en France est plus fragile qu'ailleurs. Le constructeur a accru de 11,7% ses ventes au premier semestre sur le Vieux continent et de 27,7% en Chine. En Europe, la pénétration atteint 12,1%, utilitaires compris (12,2% il y a un an), en Chine elle frise les 4,2% (3,8% un an auparavant). Les hausses dans ces deux régions compensent les reculs ailleurs avec des ventes en dégringolade (-37,2% en Afrique-Moyen-Orient, -26,8% en Amérique latine, -26,5% en Eurasie - Russie essentiellement).

Un prix de revient en fabrication qui baisse

"Nous sommes passés à un taux d'utilisation de nos capacités de production en Europe de 84%, contre 72% en 2013. Sur la seule France, le taux d'utilisation atteint 66%, contre 61% en 2013", souligne Carlos Tavares. Le site de Sochaux est bien chargé grâce à la percée de la nouvelle compacte Peugeot 308, élue "voiture de l'année", Mulhouse aussi grâce à la 2008.  Mais, Poissy et surtout Rennes souffrent. En Europe, PSA retrouve les taux de saturation de ses capacités industrielles de 2011...

"Nous avons réduit nos prix de revient en fabrication de 446 euros par véhicule entre 2013 et 2014", ajoute le président du directoire. "Un tiers de cette réduction s'explique par la hausse des volumes, les deux-tiers par une réduction des coûts". Carlos Tavares indique par ailleurs : "les usines françaises ont un réel potentiel d'amélioration".

Une grande prudence de mise sur l'année

Carlos Tavares reste toutefois très prudent sur l'année. Le second semestre est moins bon, structurellement, que le premier à cause de la fermeture des usines en août et des perturbations des congés de Noël en décembre. Il n'empêche. Vu l'avance prise sur les six premiers mois, PSA devrait logiquement enregistrer un flux de trésorerie positif sur l'année. La firme automobile pourrait aussi finir l'exercice avec un résultat opérationnel à l'équilibre, même si c'est loin d'être certain et que le dirigeant du groupe refuse de prendre le moindre engagement sur ce plan eu égard aux incertitudes  générales.

Carlos Tavares cite parmi ces incertitudes des marchés européens encore faibles, notamment dans l'Hexagone, des marchés émergents qui ne parviennent pas à décoller (sauf la Chine), des effets de change toujours négatifs en Amérique latine et Russie... ainsi que le coût du passage des moteurs aux très sévères normes d'antipollution Euro 6, estimé à plusieurs centaines d'euros par véhicule sur les diesels. Or, PSA n'est pas sûr du tout de pouvoir répercuter ces surcoûts sur le prix de vente final au client...

Le dirigeant préfère réitérer officiellement ses objectifs d'un flux de trésorerie libre du groupe positif au plus tard en 2016 et une marge opérationnelle de 2% pour les activités automobiles en 2018. Des buts très prudents...

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/20140730trib000842347/psa-remonte-spectaculairement-la-pente-avec-carlos-tavares.html

Par contre attribuer cela à Tavares... alors qu'il est la depuis peu de temps, on verra si la politique de Tavres a été un succès ou un echec dans 4-5ans !

On l'espère tous, PSA c'est bientôt Back in the place.   

Merci de citer les sources   

En l'espèce, c'est l'hebdo économique La Tribune, dont l'auteur Alain-Gabriel Verdevoye s'enflamme un peu prématurément pour le talent de Tavares... à moins qu'il n'ait des choses à reprocher à Varin en oubliant sa responsabilité dans l'état (difficile puis de redressement actuel) du groupe PSA.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/20140730trib000842347/psa-remonte-spectaculairement-la-pente-avec-carlos-tavares.html

J'ai copié l'article sur un blog, je pensais que ça venait de chez reteurs.

C'est rectifié   

Je ne sais pas si cela a été notifié, mais il existe maintenant une section DS Motorsports! Donc peut être que maintenant les versions sports des DS ne seront pas que des concepts....

Le lien ci dessous:

http://www.ds.com.cn/en/spirit/motor-sports

Ca permettrait de scinder plus aisement les positionnements sportifs?

DS--> WRC
Citroën --> WTCC
Peugeot--> Dakar

Dakar et circuit vu que Peugeot y reviendra..