[Actualité] Groupe PSA Peugeot-Citroën

Dommage qu'on ne voit pas l'intérieur
Super l'affiche sur le C3 Pic' ! C'est une affiche ou autre chose (genre projection) ?

Toutes les concessions vont-elles muer ? Si oui quand ? C'est Citroën qui finance ? Merci d'avance ! Nous sommes gâtés !

Voilà le communiqué : Très riche, bonne lecture à tous

Merci Paulo007x !tres riche a lire est tres interessant!

Quentin je t'ordonne de continuer à tout balancer et vite

prof a écrit:Quentin je t'ordonne de continuer à tout balancer et vite

Ah non. J'arrive plus à suivre le rythme ! J'édite tout le temps l'article du blog en parallèle

Vidéo intéresante : Interview designer

La suite des photos des concessions ici prof

http://www.worldcarfans.com/9090205.017/citroen-presents-new-logo--brand-strategy-to-dealers

Deux fois merci KMD

Deux fois rien

La vague de la révolution de Citroën arrive par l'Est... Coming soon

http://www.citroen.ru/

Pas mal fait vivement le site français

Le site citroen est à jour, ça se passe ici : http://91.151.77.97
Le site .fr n'a pas changé si ce n'est le logo en haut à gauche
Le site http://www.dsinside.citroen.com/ a été lancé mais pour le moment, c'est "coming soon"

Note au webmaster du .com : bug d'affichage dans la rubrique actualité aussi bien sous FF que IE : un des trois mois ne s'affiche qu'a moitié (decembre si on est sur février, février si on est sur décembre)

Sa se trouve il va y avoir rien de plus, on sait déjà tellement de chose

POURQUOI CHRISTIAN STREIFF EST-IL SUR LA SELETTE

Deux ans après son arrivée, le président du directoire de PSA serait contesté en interne selon La Tribune. L'action Peugeot lâchait 3,6% jeudi. Christian Streiff semble bien au coeur d'un faisceau de pressions plus ou moins contraires.

Christian Streiff prenait le volant de Peugeot Citroën après avoir brutalement claqué la porte d'Airbus. A l'époque, les investisseurs et les spécialistes du secteur saluaient l'arrivée de cet industriel expérimenté, au style direct, censé redonner du peps au 1er constructeur français. Las ! Aujourd'hui, le patron de PSA serait fragilisé, parce que « contesté » en interne dixit La Tribune. L'homme manquerait surtout de « vision stratégique » selon un cadre cité par le quotidien qui affirme par aileurs que la famille Peugeot est divisée sur l'opportunité de le remplacer. L'action Peugeot dérapait de 3,6% jeudi en clôture.

Un bilan mitigé
Appelé pour tailler dans les coûts et repenser entièrement les process du groupe à l'heure où la conjoncture s'était déjà retournée, Christian Streiff, 54 ans, subit logiquement les événements au moment où la crise devient assourdissante. Mais un autre patron aurait-il fait mieux dans un tel climat ? « Rien n'est moins sûr, explique à L'Expansion.com Guillaume Mouren, analyste chez Xerfi. Il ne faut pas jeter le bébé avec l'eau du bain. Certes, depuis son arrivée, il n'y pas eu de méga-succès commercial, mais dans le même temps, il a sû abaisser les coûts d'approvisionnement et s'est attaqué à la question de la qualité ».

D'autres voix se veulent toutefois plus virulentes. « Le regroupement des deux bureaux d'études - Peugeot et Citroën - n'est pas forcément une bonne idée. Car ça risque de tuer les marques au lieu de les différencier davantage, détaille un expert auto sous couvert d'anonymat. De même, la notion de produit "premium compétitif" dans chaque segment n'est pas claire. C'est peut-être le signe que ça ne l'est pas tant que ça au sein de la "maison". Enfin, contrairement à Renault, PSA n'a pas de vision sur le low-cost. Or, on le voit à l'usage, la Logan est l'une des rares machines à cash du rival ».

L'opposition des cadres
C'est manifestement tout sauf un hasard. En quelques semaines, le groupe a enregistré une hémorragie de ses cadres dirigeants. Le DRH, Jean-Luc Vergne, est parti, tout comme Hervé Guyot, le directeur général de BPS, la division financière du groupe, ainsi que Gilles Michel, le patron de la marque Citroën. « En fait, bon nombre de cadres historiques ne lui ont pas pardonné d'être arrivé avec sa garde rapprochée, glisse un analyste qui couvre les valeurs autos. Plus généralement, certains lui reprochent de ne pas avoir de culture automobile et de n'être qu'un bon gestionnaire au day-to-day ». « C'est un fonceur, c'est une personnalité qui dérange » évoque un autre familier des problématiques automobiles.

L'ambiguité de la famille Peugeot
« Le drame de Christian Streiff est qu'il est coincé par la famille Peugeot, confie à L'Expansion.com un autre fin connaisseur des arcanes du groupe sochalien. A vrai dire, il n'a pas les coudées franches. Il dirige l'opérationnel mais il n'a pas la main sur la stratégie. C'est un COO et non un vrai CEO. C'est un peu le Patrick Pelata de Peugeot (ndlr directeur général délégué de Renault, le bras droit de Carlos Ghosn). Or, aujourd'hui, la famille actionnaire est dans l'embarras. Les Peugeot se demandent en effet "Comment assurer la pérennité de notre propre actif ?" Faut-il s'allier ? Faut-il rester seul ? En attendant, ils demandent à leur président du directoire d'assumer le sale boulot ».

Régulièrement circulent des hypothèses d'alliance, alors que jusqu'à présent le n°1 français s'en est toujours tenu à son stand-alone. PSA doit-il fusionner avec Fiat ? Avec BMW ? Il y a trois jours, des dirigeants du constructeur allemand ont ainsi rencontré des conseillers du gouvernement français, que ce soit à l'Elysée, Matignon ou Bercy, pour discuter du cas Peugeot Citroën. Sachant que les deux groupes coopèrent déjà dans les moteurs. « Actuellement, PSA vaut à peu près 3 milliards en bourse, donc les Peugeot, forts de leurs 30%, pèsent environ 1 milliard. Seulement, en face, Fiat est à 4,6 milliards et BMW à plus de 12 milliards, dont 4 milliards pour la seule famille Quandt, ajoute un autre spécialiste parisien de l'automobile. Dès lors, les Peugeot craignent d'être dilués s'ils acceptent de s'adosser. En revanche, l'Etat français, lui, ne serait pas contre un rapprochement capitalistique, pourvu que les usines Peugeot continuent de tourner en France ! » En début de semaine, La Tribune indiquait dans ses colonnes que « le gouvernement réfléchi[ssait] à de nouvelles coopérations pour les constructeurs français ».

La pression de l'Etat
Contrairement à Renault qui s'est empressé de donner des gages à l'Etat actionnaire en précisant qu'il préservera l'emploi en France, PSA regimbe toujours devant les exigences de l'Elysée. En clair, le groupe dirigé par Christian Streiff ne s'est pas engagé à ne pas restructurer dans l'Hexagone. Or, c'est la condition sine qua non pour être renfloué en cash. « Fondamentalement, Renault et PSA ne subissent pas la même pression du gouvernement. Mais contrairement à ce que l'on croit, ce n'est pas le groupe semi-public mais bien le groupe privé familial qui est davantage exposé. Car Renault n'a que 38% de ses capacités en France contre 50% pour Peugeot Citroën. Aussi l'Etat ne se prive pas de destabiliser Christian Streiff. L'idée étant de faire passer le message aux Peugeot qu'il n'est peut-être plus l'homme de la situation. Mais en même temps, sur ce point précis, la famille est derrière lui... » « Il est finalement entre l'enclume et le marteau, avec d'un côté la famille Peugeot, et de l'autre, l'Etat » observe un de nos experts en off. Une situation ni enviable, ni tenable à long terme. « On peut s'interroger sur le timing de l'article de La Tribune, relève Guillaume Angué, analyste au CM-CIC, à quelques jours de la publication des résultats annuels » qui tomberont la semaine prochaine, le 11.

Source : L'Expansion.com

Citroën déclinera ses véhicules haut de gamme sous le label DS


Malgré l'ambiance de crise actuelle, la marque au double chevron ose le pari de monter en gamme. A partir de 2010, elle lancera trois nouveaux véhicules « crossover », estampillés DS. Mais toute ressemblance avec l'illustre berline, qui fait partie du patrimoine national, s'arrête là.
Un toit plat et blanc... seul clin d'oeil de la DS3 à la mythique berline.Le point commun entre « Fantomas se déchaîne », « Les Valseuses » et « Rabbi Jacob » ? La DS, bien sûr. La mythique berline, dont la longue carrière commerciale s'est interrompue en 1975, a gardé un tel capital affectif que Citroën a décidé d'exhumer ce label pour baptiser sa nouvelle « gamme distinctive », qui viendra se ranger à côté de ses modèles traditionnels. La marque au double chevron tente un pari osé en période de crise, projetant de lancer coup sur coup trois nouveaux modèles : DS3, DS4, et DS5, qui correspondront chacun à un segment (citadine, compacte, routière), venant ainsi « doubler par le haut » les actuelles C3, C4 et C5. La DS3, dont une version quasi définitive a été présentée à la presse hier soir, inaugurera cette famille à partir de 2010. Bonne nouvelle en ces temps très incertains pour l'emploi en France : la DS3 sera fabriquée à l'usine PSA de Poissy, à côté de la Peugeot 207, et la DS4 à Mulhouse, avec ses cousines de même gabarit.

Cependant, les aficionados de l'illustre voiture officielle du général de Gaulle, dessinée par l'italien Flaminio Bertoni avec le concours de l'ingénieur venu de l'aéronautique André Lefebvre, risquent d'être déçus. Malgré le toit plat et blanc de la DS3, en forme de clin d'oeil aux spécialistes, pas question de ressemblance : le but de Citroën n'est nullement de verser dans le « néo-rétro », comme a pu le faire Fiat avec sa célèbre 500, Volkswagen avec la New Beetle, ou BMW avec la Mini.

« Offrir un désir accessible »
« Nous ne refaisons pas une DS, une voiture qui est incopiable et irremplaçable. Notre but n'est en aucun cas de faire un «revival» ou une copie », explique aux « Echos » Vincent Besson, directeur produits et marchés de la marque. La stratégie est seulement de créer un nouveau label, à la manière de Picasso pour la famille des monospaces, afin d'élargir l'offre.

Alors que Renault a su étoffer son audience avec le sillon du « low cost », incarnée par la gamme Logan, Citroën tente le pari inverse, en montant en gamme. « Nous voulons offrir un désir accessible. Trois modèles inédits, destinés à des gens qui ne veulent plus surpayer quelque chose, poursuit Vincent Besson. Aujourd'hui, un grand nombre d'automobilistes ne veulent plus céder ni aux codes figés du haut de gamme actuel, ni aux prix des marques de spécialistes, qui se situent au-delà du raisonnable. »

En clair, Citroën espère capter davantage de clients chez Mercedes ou Audi que dans sa propre zone de chalandise. Les prix des trois modèles se situeront entre ceux des Citroën « normales » et ceux des rois du haut de gamme allemands. Sans plus de précision pour le moment. D'une certaine façon, la marque suit un peu le même raisonnement que Fiat avec sa marque premium Lancia, ou aux Etats-Unis Ford avec son blason plus élitiste Mercury. Les trois modèles badgés DS auront des châssis et moteurs partagés avec d'autres modèles PSA, mais disposeront d'une robe entièrement nouvelle. Le montant du « ticket d'entrée industriel » pour ce triple programme n'est pas communiqué, pas plus que les prévisions de ventes, que Citroën qualifie de « prudentes ».

La nouvelle gamme DS pourra-t-elle autant frapper les esprits que l'ancienne, que Roland Barthes qualifiait de « Déesse ayant tous les caractères d'un de ces objets descendus d'un autre univers », et de « nouveau «Nautilus» » ? Dans un monde automobile archicouvert par la concurrence et de plus en plus corseté par les normes techniques, s'attirer de tels superlatifs devient ardu. Quant au clin d'oeil néo-rétro, méfiance : bien des générations ont passé depuis les années1960. Seulement 20 % des personnes sondées aujourd'hui par la marque attribuent le label DS à Citroën ! Les autres pensant plus spontanément à la console de jeu de Nintendo...

Source : LesEchos.fr

Les sites internets ont étaient remis à neuf ICIwww.citroen.com

Ohlàlà...le logo

Une réussite total Si j'avais un point à critiquer, c'est que le rendu fait un peu trop dessin !

Et les concessions...absolument magnifique Mais, c'est moi où ça ressemble à du Sketch'Up ?

Et super le site

Un petit extrait du film

http://ma-tvideo.france3.fr/video/iLyROoafJBNe.html

le site est vraiment très bien fait! La site de renault fait bien fade à coté...

Videos :





Et enfin la conférence de presse :

Cette conférence de presse C'est la première conférence de presse que je vois, qu'est ce que c'est lassant !

La dernière vidéo est vraiment géniale, si il y en avait une seule à voir, ce serait celle là
Si j'avais su, je me serrais arrêté chez Citroën tout à l'heure pour prendre la brochure !

J'ai vu sur iTélé la nouvelle pub Citroën Super bien réalisée

Bonne idée la réalité augmentée... mais est-ce que c'est vraiment l'avenir des sempiternelles brochures autos ? Je suis septique...

Je vais casser l'ambiance mais bon ...

Crise : 2 800 salariés menacés chez PSA Peugeot Citroën Madrid

Le site de production de PSA Peugeot Citroën de Madrid, notamment en charge des 207, 207 CC ou C3, traverse une mauvaise passe à l’image du marché espagnol (sur ce point, nous y reviendrons prochainement). L’avenir des salariés du groupe serait en sursis comme l’a annoncé un communiqué du groupe français. PSA Peugeot Citroën envisagerait de réduire la production du site ce qui frapperait les 2 800 salariés. Ce qui reviendrait donc à fermer temporairement le complexe industriel, celui-ci comptant 2 800 salariés, sauf si une subtilité m’échappe…

Aucune décision concrète n’a encore été prise mais plusieurs pistes concernant la production du site PSA Peugeot Citroën de Madrid. Les dirigeants envisagent soit un plan de chômage partiel tournant, soit un plan de fermeture complète du site pendant une durée indéterminée ou, ultime solution, un plan de départs volontaires. Les négociations entre syndicats et membres de la direction vont durer une quinzaine de jours avant l’annonce définitive.

En attendant donc la politique prochainement instaurée, du côté de la Galice à Vigo, on doit également trembler (l’usine PSA Peugeot Citroën y emploie plus de 9 000 salariés) pour ne pas dire davantage.

LeBlogAuto