[Actualité] Groupe Stellantis

Batbols a écrit:Il n'est pas écrit que les 128 continuent à travailler mais que les 1072 autres qui prennent le même risque oui.
Je trouve incroyable que des gens arrivent à défendre cette attitude mais bon l'amour rend aveugle comme on dit.

Du côté de FO et de la CFTC, les prises de paroles sont plus mesurées et moins alarmistes.
Pour Jean-Yves Poulet, délégué FO à PSA Vesoul "le risque zéro n’existe pas, tout le monde aurait souhaité que l’usine ferme totalement mais c’est impossible."

Tout en reconnaissant qu’effectivement 128 cas suspects sont recensés, Jean-Yves Poulet estime que des mesures sanitaires sont mises en place même si elles ne sont pas suffisantes. "Les postes de travail sont nettoyés, désinfectés toutes les heures. Les sols sont lavés toutes les deux heures, des bandes au sol permettent de respecter les distances de sécurité. Tous les salariés portent des masques et certains des gants et lunettes. Chaque matin, le salarié doit remplir une fiche où il rend compte de son état de santé."
Et si le salarié ne dispose pas de ces mesures, il pourra utiliser son droit de retrait tient à rappeler Jean-Yves Poulet.
(...)
Contrairement aux usines de production comme Sochaux ou Mulhouse, le site PSA de Vesoul, spécialisé dans les pièces détachées, continue à fonctionner. La direction explique que c'est une nécessité pour assurer la réparabilité des véhicules durant la crise.
Une position partagée par FO et la CFTC  qui contrairement à leur collègue cgtiste, ne réclament pas l’arrêt de la production.
Aujourd’hui l’activité tourne au ralenti, elle a baissé de 90 %. Selon Jean-Paul Guy de la CFTC, il est nécessaire de poursuivre le travail. "Le centre logistique permet de fournir en pièces détachées près de 150 plateformes dans toute l’Europe et assure le maintien en état de marche des véhicules de soignants, caissières et autres professions indispensables dans la gestion de la crise."

Batbols a écrit:Il n'est pas écrit que les 128 continuent à travailler mais que les 1072 autres qui prennent le même risque oui.
Je trouve incroyable que des gens arrivent à défendre cette attitude mais bon l'amour rend aveugle comme on dit.

ar78 a écrit:Est-ce que vous vous êtes demandé pourquoi ce centre logistique à besoin de continuer à tourner ?

Les véhicules de secours roulent toujours, et de temps en temps, il sont besoin d'être réparé. Si il n'y a pas de pièces pour réparer, il n'y a plus de véhicule de secours. Ce centre logistique est donc une activité essentielle.

Par contre, j'aimerais bien savoir si les 128 ouvriers continuent réellement à travailler. Si oui, PSA doit se remettre en cause. Si non, c'est la personne qui a écrit cet article qui est écœurant.

GMU a écrit:Mon dieu quoi, prendre révolution permanente comme source...
Dans le genre parti pris, désinformation et autres, ils sont champions.

GMU a écrit: en disant que personne n' est fiable et pratique desinformation + propagand3 de masse c' est pas vraiment a ton honneur (pour rester poli).

Batbols a écrit:

GMU a écrit: en disant que personne n' est fiable et pratique desinformation + propagand3 de masse c' est pas vraiment a ton honneur (pour rester poli).

Ce qui est marrant c'est que tu fais exactement ce que tu critiques sur ce média.

Pointer du doigt quelqu’un, c’est avoir trois doigts pointés vers soi

Batbols a écrit:

GMU a écrit:Mon dieu quoi, prendre révolution permanente comme source...
Dans le genre parti pris, désinformation et autres, ils sont champions.

Je veux bien te croire mais malheureusement on peut dire ca de la majorité des médias.
Après cette info n'est pas une fake news en soi.

Objectif, assurer à tous les salariés français en chômage partiel 100 % de leur rémunération, sur le même principe qu'au sein du Losange : il s'agit de donner des jours de congé pour alimenter un fonds de solidarité, qui permettra aux opérateurs de compenser le manque à gagner par rapport au dispositif légal. Celui-ci ne leur permet de toucher que 84 % de leur rémunération nette (et 70 % du brut).
Selon l'accord conclu, les 11.000 cadres de PSA donneront chacun 2 jours de congé, tandis que les 32.000 autres salariés donneront de leur côté 1 jour par mois de chômage partiel, soit au total 27.000 jours. Le groupe abondera de son côté, en versant 33.000 jours.