[Actualité] Les petits constructeurs et les artisans

ça va p't être le faire pour la nouvelle Clio dCi mais je crains que la BVM5 plus habitué au couple du 1.5 L dCi ne soit un peu juste !

le tout récent Bowler Nemesis en démo à Goodwood

La Puritalia 427 ou l'interprétation napolitaine et assez réussie de la Cobra (pour s'en payer une bonne tranche... sur la route )

Nous l’avions aperçu en mai dernier sous la bâche du teaser, voici les premières images de ce nouveau roadster sportif italien qui réinterprète d’une façon moderne l’AC Cobra tout en gardant des entrailles américaines puisque cette Puritalia 427 est motorisée par le moteur Ford V8 « Coyote » 5.0L 32V DOHC Ti-VCT de la Mustang Boss 302.
Ce roadster du sud de l’Italie n’est pas désagréable à l’oeil et il offre une agréable et contemporaine interprétation de la Cobra. La Puritalia est construite autour d’une plateforme qui marie une cellule en aluminium et des parties Av et Ar tubulaires. L’ensemble est recouvert d’une carrosserie en matériaux composite et en fibre de carbone ce qui permet à cette italienne d’avancer un poids contenu de 1090 kg. La voiture repose sur 4 suspensions indépendantes à double triangulation et amortisseurs monotubes réglables en compression et en détente. Les barres stabilisatrices sont elles aussi réglables selon les conditions de route. La voiture est équipée de roues en 19 et 20 pouces (Pirelli PZero) en respectivement en 275/35R19 et 335/30R20. C’est Brembo qui s’est chargé du système de freinage composé de disques ventilés en 380 x 32 mm à l’avant et 345 x 28 mm à l’arrière pincés par des étriers à 6 et 4 pistons. La Puritalia revendique les dimensions suivantes :

L : 4.35 m / l : 1.95 m / h : 1.25 m

Empattement : 2.60 m

Mécaniquement, la Puritalia est donc propulsée par le V8 Ford Coyote dans deux versions, une atmosphérique et un Supercharged ou suralimentée par un compresseur.

V8 « Coyote » 5.0L 32V DOHC Ti-VCT atmosphérique : 445 ch à 6500 trs/min, 530 Nm à 4250 trs

V8 « Coyote » 5.0L 32V DOHC Ti-VCT supercharged : 605 ch à 7000 trs/min, 640 Nm à 4500 trs

Dans les deux cas le moteur envoie sa puissance aux roues arrières via une BVM6 avec un embrayage renforcé à double disques et un différentiel à glissement limité. La voiture napolitaine avance une répartition des masses équilibrée puisque Puritalia avance une répartition à vide de 50/50. La version la plus performante revendique un rapport poids/puissance de 1.80 kg/ch et la version de base est plus timorée avec un rapport poids/puissance de 2.45 kg/ch.

Pas encore de performances officielles annoncées ni de prix ou de vidéo mais le petit et probablement éphémère constructeur italien assure que cela sera fait dans les prochains mois. A revoir dans quelques temps pour voir si ce puissant roadster napolitain permet de s’en payer une bonne tranche sur la route !
Pour les images c'est là.

http://wp.me/p1Dir1-Eb5

Une bien belle voiture mais je laisserai à d'autres le soin de la dompter !

Propriété du fond mexicain Tresalia Capital (qui possède les bières Corona) depuis deux ans et demi, le petit constructeur de Delbrück a déposé son bilan vendredi dernier au tribunal de Paderborn. Le constructeur explique très vaguement dans un court communiqué que cette étape est nécessaire pour assurer l’avenir de l’entreprise et faire face à l’échec d’une nouvelle reprise par un groupe d’investisseurs venus d’Asie, comme c’est étrange !!
Il faut donc que l’actuelle direction d’Artega (peu brillante et ayant fait de mauvais choix) travaille désormais en collaboration avec l’institution judiciaire allemande pour chercher de nouveaux repreneurs ou plusieurs investisseurs qui connaitraient le monde de l’automobile et qui voudrait participer au développement d’Artega qui propose un petit coupé assez génial mais hélas bien trop onéreux et sans réel pédigrée sportif ou historique comme bien d’autres d’ailleurs qui apparaissent d’un coup avec un monstre qui doit tout ramasser et qui finalement ne ramasse rien si ce n’est l’indifférence et la mort industrielle et commerciale.

Il nous reste désormais à souhaiter que les actions qui vont se mettre en place aboutiront sinon il y a fort à craindre que l’entreprise née il y a 6 ans ne passe pas le cap du début de l’année 2013 et finisse purement et simplement par être liquidée. On regrettera ainsi le choix du greenwashing onéreux, peu attrayant et sans lendemain si on ne possède pas de solides bases comme peuvent le faire de grands constructeurs.
On regrettera aussi la « non arrivée » pourtant attendue et annoncée du coupé « light » moins lourdement équipé et motorisé par le bloc 2.0 L TSI/TFSI du groupe Volkswagen?. Une version forte de 240-250 ch et à l’esprit sportif aurait pu séduire en étant vendue bien moins cher que l’actuel modèle GT, au demeurant excellent avec le V6 VW en 300 ch mais très onéreux (88.500€) face à une concurrence qui s’appelle un peu Lotus mais essentiellement Porsche (Boxster S à partir de 66.435€). Dommage car c’est une auto attachante et très séduisante. On suivra les évolution de ce dossier allemand dans les prochains mois. 34 salariés sont concerné par ce dépôt de bilan.

En lien : http://blogautomobile.fr/artega-de-paulaner-corona-47625#axzz1zesmQpTl

Très triste

J'adorais la GT (plus désirable qu'un cayman je trouve)

Oui et c'est un bonheur sur la route tant grâce au chassis qu'à la belle évolution du V6 Volkswagen et je la connais très bien car j'ai eu la chance du temps de l'ancien propriétaire d'aller à Delbück l'essayer durant deux jours et c'est un vrai plaisir surtout quand on sait que les 300 ch poussent un coupé GT moins long qu'une Clio (4.01 m)

C’en est définitivement fini de la renaissance de laborieuse, douteuse, hasardeuse pour ne pas dire magouilleuse de De Tomaso. Le tribunal de Livourne vient d’émettre l’ordonnance de mise en faillite de De Tomaso. Le dossier va désormais prendre la direction du tribunal de Turin où la cour va confirmer la faillite de l’entreprise et sa liquidation totale afin d’apurer les dettes de la société qui n’on fait que croître au fil des mois.

De Tomaso avait bénéficié d’aides diverses et de financements publics et locaux afin de tenter de faire quelque chose mais il semble bien que cela n’ait servi à rien et que tout ne soit pas allé dans les caisses du constructeur automobile. Ainsi les collectivités, l’état puis les créanciers vont se servir sur ce qui est vendable afin de récupérer ce qui peut encore l’être. Le tribunal va aussi veiller à la situation difficiles des presque 1000 salariés (ex Pininfarina) qu’avait repris Rossignolo quand il criait haut et fort que De Tomaso allait exploser le marché du premium avec des dizaines de milliers de voitures produites chaque année et avec une gamme allant de la citadine premium à la supercar en passant par le SUV et une grande berline ( Tiens, un discours qui me rappelle celui que l’on entend actuellement du coté de Bologne… euh quoi, non j’ai rien dit !). Je préfère m’abstenir sur les différents épisodes mais on gardera en mémoire, le faux proto d’une Pantera II, le repreneur chinois qui paye pour reprendre mais ne paye pas, la reprise par BMW, les fanfaronnades à Genève 2011 et j’en passe des bien meilleures ! Une affaire à oublier très vite tout comme le très laid SUV Deauville et il est désormais venu le temps de parler de De Tomaso avec plaisir en se rappelant des anciennes vraies voitures du constructeur italo-argentin !

NDLA : si je ne suis un peu trompé sur Fiat et la reprise de Chrysler, pour Lotus et De Tomaso j’étais dans le vrai depuis 3 ans.

TVR n’est plus

Il y a quelques jours nous apprenions la fin de De Tomaso en Italie, aujourd’hui c’est au tour de TVR de passer de vie à trépas. Je ne reviendrais sur la tumultueuse vie du constructeur britannique mais sachez tout de même que la marque britannique ne disparait pas dans une faillite, une liquidation mais bel et bien à cause d’une décision de son propriétaire, le russe Nicolas Smolensky.
Le milliardaire russe avait racheté le constructeur de Blackpool en 2004 pour environ 15 millions de livres sterling mais entre affaires criminelles, mafieuses, blanchiment supposé d’argent sale, le constructeur de voiture de sport n’a jamais pu renaître et en 2006 la production a définitivement cessé. Depuis l’Autriche où il est actuellement Nicolas Smolensky explique qu’il est désormais devenu impossible de produire une ou plusieurs voitures de sport haut de gamme de façon viable financièrement et industriellement pour un petit constructeur. Le milliardaire russe estime, et à juste titre, que le marché est saturé et qu’il y a bien trop de « petits fabricants » de sportives et de supercars sur le marché au regard de la demande et des exigences de la clientèle.

Il poursuit en rappelant que TVR, sous sa direction, a développé depuis quelques années ( après les licenciements et la ventes des actifs restant en Grande bretagne) trois voitures, à savoir :

une Tuscan Mk2 à moteur GM V8 LS3, une Cerbera à moteur BMW V8 diesel biturbo et une T350 à moteur électrique de 100 kW mais dans tous les cas, les projets n’étaient pas finalisés et il était difficile de trouver des clients qui voulaient mettre entre 100.000 et 200.000 £ dans de telles autos.

Mais rien ne devrait désormais exister ni revivre sauf le nom dont il reste le propriétaire et qui va servir d’appellation à une entreprise de construction d’éoliennes. Pour les SAV et les pièces de rechanges TVR, trois structures ou entreprises assureront la fourniture auprès des possesseurs de ces charmantes sportives anglaises. Une chose est sure, on se doutait bien depuis 5 ou 6 ans que TVR risquait de ne plus produire de voitures ou même de disparaitre mais on espérait toujours un peu, c’est désormais officiel et définitif TVR n’existe plus !

Une marque qui pour moi a toute sa place dans l'histoire automobile britannique voir même européenne. Leur look indémodable et le son si atypique de leurs moteurs me fera toujours autant vibrer.

Je dis au revoir à, selon moi, un des meilleurs constructeurs de sportive. Et au plaisir d'en revoir au 24h du Mans l'an prochain !

TVR aux 24 heures du Mans ?????

Dans les parkings visiteurs Fred !

De Tomaso : Rossignolo arrêté par la Guardia di Finanza

Quelques jours seulement après la fin définitive de De Tomaso, l’ex PDG du constructeur italien a été arrêté ce matin, ainsi que deux des principaux associés de l’entreprise par la Guardia di Finanza pour avoir détourné à des fins personnelles 7.5 millions d’euros provenant de fonds publics et qui étaient sensés être destinés à la relance de l’ancienne usine Pininfarina de Grugliasco et au maintien en activité de près de 1000 salariés.

Selon les policiers qui sont en charge de l’enquête, Rossignolo et ses associés ont notamment présenté de fausses garanties bancaires afin de recevoir des aides financières de la région du Piemont et de l’Union Européenne. L’enquête montre que ces fonds ont été retrouvés sur les comptes de trois hommes dont une grande partie sur les comptes bancaires de Gian Mario Rossignolo. Les trois hommes devraient être maintenus en résidence surveillée et pourraient même se retrouver en prison dans les prochains jours ou semaines pour différents chefs d’accusation. On est pas vraiment surpris de la fin pitoyable de De Tomaso et de son repreneur qui n’en est pas à son coup d’essais puisqu’on se souviendra qu’il y a déjà quelques année il avait tenté de relancer Isotta Fraschini dans des conditions plus que douteuses tout comme sa soudaine disparition de la scène automobile. Rossignolo qui fut aussi un des cadres de Fiat et directeur de Telecom Italia SpA n’a jamais laissé un souvenir impérissable et traine dérrière lui quelques belles casseroles ! En voilà un qui ne verrait probablement pas d’un mauvais oeil le retour en politique d’un certain Silvio B. en 2013…

Nous en avions parlé au printemps, Artega va très mal , est au tribunal dans l'attente d'un plan de reprise ou... de mourir début 2013 mais en attendant on peut toujours essayer le coupé GT à moteur V6 3.6 L de 300 ch. Pour avoir eu l'occasion d'essayer longuement ce coupé à son lancement, c'est un régal sur route (même petite !) et pour ne pas oublier ce petit constructeur qui est entre les mains d'un propriétaire qui n'a rien à faire de son avenir (le proprio est celui qui possède Corona), voici un test en trois vidéos

Voici une nouvelle qui devrait ravir les écologistes puisque AM General va proposer un kit de son Humvee, qui a enfanté Hummer, au grand public.
Baptisé C-Series il comprend le châssis et la carrosserie (configuration 4 places avec portes et toit en toile) mais pas le moteur et la transmission.
Nu, il coûte 59 K$ et avec par exemple le diesel Duramax et la BVA Allison, ça fait 75 K$. Raisonnable quand on sait qu'un Hummer H1 Alpha coûtait 140 K$ neuf.

Seules choses à pas oublier :
- Il n'y a pas le moindre élément de confort, AM General fait du matériel militaire et ne verse pas dans le luxe. Pas de climatisation, de cuir ou même de simple habillage du tableau de bord.
- C'est un Humvee et pas un Hummer donc ça n'a pas la même tête même s'il y a un air de famille.

avec le 1.4 L Ecotec Turbo ça devrait le faire pour cruiser sur le bord de mer et faire d'un HMMWV une sorte de Mehari

frederic.E a écrit:avec le 1.4 L Ecotec Turbo ça devrait le faire pour cruiser sur le bord de mer et faire d'un HMMWV une sorte de Mehari

Euh, en parlant de Hummer et de cruiser en bord de mer, j'ai plutôt cette vidéo qui me vient à l'esprit qu'une Méhari à St Tropez :

un tour de piste de l'autodromo di Monza en Caterham seven R500

Spyker qui avait le choix de changer de motoriste l'an passé devait commencer à utiliser les V8 de GM en fin d'année , hélas vue la tournure des évènements actuels, il semble que GM ne soit plus vraiment interessé par le marché . Il reste donc Jaguar, Chrysler et Lexus... sinon Shimano ou Campagnolo

Et Sram aussi

ViNTECH : P550 Tribute

Vintech c'est ça : Vintech est une filiale du groupe français D3 basé près du Technocentre à Guyancourt. Le groupe D3 c’est 4 sociétés distinctes : ADD, Artware Concept, d3 l’atelier, Numero Design. Cette entreprise s’annonce en expliquant que chaque structure a conservé son identité propre et reste spécialisée dans son domaine de compétence. Ainsi les filiales font de la conception de produits industriel, du modelage 3D, de l’étude et du développement des couleurs et des matières, de l’ingénierie, de l’étude de production et modelage manuel et industriel.



Il y a 8 jours c’était Pebble Beach mais le grand et prestigieux rendez vous automobile de la côte ouest n’accueille pas que des superbes anciennes restaurées à l’américaine ou des concepts cars puisqu’il y a des très belles manifestations associées dans le cadre de la Monterey Car Week comme le Concorso Italiano, le GP Rolex sur le Circuit de Laguna Seca ou le Quail. Et c’est vers ce dernier que nous allons nous diriger pour découvrir un petite merveille « néo classique » français qui a fait sensation sur la pelouse du grand meeting californien, la Vintech P550 Tribute.

P550, cette appellation vous rappellera surement quelque chose ! Ne serait ce pas la Porsche 550 produite de 1953 à 1956 en version Spyder (James Dean l’a tant aimé !), RS ou Carrera. Une Porsche qui couru au Mans en 1953 et qui remporta (dans sa classe) la Panamericana en 1954, la Mille Miglia la même année et la Targa Florio en 1956 (scratch). Aussi les français de Vintech ont décidé de créer leur propre interprétation et c’est une vraie réussite qui a séduit les visiteurs du Quail 2012 mais aussi les représentants du constructeur de Zuffenhausen qui ont apprécié la voiture et chaudement félicité la délégation Vintech présente aux USA.

La P550 Tribute est bien plus qu’une simple réplique quand on découvre sa conception et son design. Entièrement faite de fibre de carbone depuis le châssis jusqu’à la carrosserie, le coupé français affiche un poids réduit de 550 kg. Ce petit coupé est propulsé par un moteur flat four 3,0 L accouplé (alimenté soit par des carbus soit par une injection) à une transmission manuelle à cinq vitesses. Le flat4 est une création et une fabrication maison. La puissance de ce bloc moteur devrait osciller entre 260 et 270 ch. Grâce à sa faible masse et sa puissance raisonnable pour une sportive, la P550 Tribute peut revendiquer un rapport poids/puissance compris entre 2.04 kg/ch et 2.12 kg/ch que beaucoup de supercars aimeraient annoncer.

Pas de performances ou de spécifications pour cette auto. Et peu de chance qu’on en sache plus dans l’avenir car les dirigeants de Vintech ont clairement annoncé que cette P550 Tribute était un One Off. Cette voiture sportive est une belle proposition qui se singularise aussi, si l’on en croit les observateurs qui ont pu approcher la voiture, par une finition impeccable et des détails très soignés comme seuls les meilleurs savent le faire

Caterham aurait bien acheté les droits de l'Elise car bahar les auraient vendu en douce à T.Fernandez qui va en faire une sportive à moteur Renault-Nissan.

Les américains savent aussi du "light is right" , voici la CR Catfish

De prime abord, on se dit que l’allure de ce roadster nous dit quelque chose et il est vrai que l’on retrouve dans cette nouvelle auto américaine un peu de la Veritas RS3 mais aussi un peu de la Ferrari Rossa Concept, de la Testa Rossa 1958 et du… poisson chat ! Cette CB Catfish est produite par Bauer Productions Limited dirigée par Cord Bauer qui est installé dans le sud de la Californie. On doit le dessin réussi de ce roadster sportif à Greg Tada diplômé de l’Art Center College of Design de Pasadena. Aujourd’hui il travaille en tant que designer au bureau de style de Suzuki America.

Le roadster Catfish est développé autour d’un chassis Space frame qui permet l’installation de deux passagers mais aussi de la mécanique, de la transmission et des trains roulants d’un Mazda MX-5. L’objectif Bauer Production Ltd était de proposer une voiture plaisir avec un poids minimum et pour cela le petit constructeur américain a supprimer les portes, les éléments vitrés ou le toit ni même de capote. Exit donc les protection divers ou un réelle facilité d’accès à l’habitacle. Il faudra enjamber le coté de l’auto pour accéder aux baquets, penser au casque, aux lunettes et aux gants tout en comptant sur l’efficacité du petit saute vent. Dans l’habitacle, il faut se contenter d’un ou deux sièges, de harnais, d’un combiné porte instruments, d’un volant sport et… pis c’est tout !
BPL explique que ce Catfish pourra aussi bien être propulsé par une mécanique de MX-5 de la fin des années 80 que par celle d’un modèle actuel. Ainsi cette ce roadster pourra proposer des puissances comprises entre 115 et 160 ch. Certains disent que l’on pourra envisager même un peu plus et sur demande (en cas d’achat d’un modèle prêt à rouler) une version d’au moins 200 ch est envisageable ce qui devrait permettre de belles performances à cette auto de 680 kg maximum. Le berceau moteur a aussi été étudié pour recevoir si besoin, le V8 LS2 de GM.
Cette voiture sera proposée dans les prochains mois soit en version kit car, soit en version prête à rouler avec finition et motorisation au choix du client. Pas d’informations pour le moment au sujet de la tarification ou des options par contre Cord Bauer, le patron de l’entreprise californienne fait savoir que la voiture sera dévoilée en première américaine lors du prochain SEMA Show qui se déroulera du 30 octobre au 2 novembre prochain à Las Vegas. A revoir.



















le chassis à l'essai

C'est trés personnel,cela me fait penser a un petit poisson,le Gobi!

il n'était pas au Mondial mais on ne l'oublie pas, je veux parler du petit constructeur nordiste SECMA qui a fait une petite mise à jour mécanique sur L4 1.6 L du micro roadster F-16 et qui a profité des derniers beaux jours pour faire un petit coup de com dans Paris avec les étudiants de l'ESGCI