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Dé a écrit:C'est vrai que je ne m'attendais pas à des écarts aussi importants ils sont carrément largués. Pour la course je vais essayer de faire abstraction des deux Mercedes histoire de me créer mon petit monde où le suspense et la compétition ont encore leur place.

Dé a écrit:C'est vrai que je ne m'attendais pas à des écarts aussi importants ils sont carrément largués. Pour la course je vais essayer de faire abstraction des deux Mercedes histoire de me créer mon petit monde où le suspense et la compétition ont encore leur place.

larry.kubiak a écrit:

Une petite pensée quand même pour Alonso qui a encore trouvé le moyen de miser sur le bon cheval avec un énième changement d'écurie foireux

Scène plutôt cocasse à l’arrivée du Grand Prix d’Australie, ce dimanche en fin d’après-midi à Melbourne, lorsque Sebastian Vettel s’est moqué de son compatriote Nico Rosberg au beau milieu de la conférence de presse FIA.

Interrogé sur l’avance de Mercedes sur le reste du peloton, Rosberg, qui a devancé Vettel d’une bonne demi-minute, a indiqué qu’il aimerait que Ferrari leur rende la vie dure.

En entendant cette déclaration, Vettel a immédiatement interrompu Rosberg pour lui demander s’il pensait réellement ce qu’il venait de dire, suggérant qu’il avait donné une réponse hypocrite au journaliste.

Voici la retranscription complète :

Rosberg : "J’espère que nous pourrons avoir une bonne bagarre [avec Ferrari], ce serait super. Je pense que nous ferons encore la course en tête lors des deux prochains Grands Prix, mais ce serait une bonne chose s’ils se rapprochaient un petit peu, tant qu’ils ne se rapprochent pas trop…"

Vettel : "Sois honnête. L’espères-tu vraiment ? Sérieusement ? Tu viens de finir 30 secondes devant nous et tu espères que les écarts vont se resserrer ? Donc tu espères lever le pied ? Est-ce bien cela que tu es en train de dire ?"

Rosberg : "J’espère vous voir nous donner la vie dure ! Car c’est important pour le sport et pour les fans. Et je pense au spectacle. La moitié de moi, ou une part de moi, pense au spectacle, car je veux que les gens passent un bon moment devant leur poste de télévision ou sur le circuit. Si vous vous rapprochiez un peu de nous, cela serait super pour tout le monde."

Vettel : "Première suggestion dans ce cas, si tu me permets. Je pense que votre garage devrait être public en Malaisie pour que tout le monde puisse venir y jeter un œil. Non ? Je plaisantais…"

Rosberg : "Tu peux y venir si tu le souhaites, nous pouvons t’inviter…"

Vettel : "Très bien, merci pour l’invitation, je passerai."

Rosberg : "Vendredi, en Malaisie, c’est noté."

Vettel : "La pièce réservée aux ingénieurs également ? Le débriefing, je serai présent à votre débriefing !"

Par après, Rosberg a essayé de répliquer quand un journaliste a demandé à Vettel s’il était déçu que son équipier Kimi Räikkönen ait dû abandonner.

Vettel : "Kimi n’a pas fini la course et c’est dommage. Nous aurions pu inscrire beaucoup plus de points aujourd’hui..."

Rosberg : "...tu penses que c’est dommage que ton équipier ne soit pas à l'arrivée ?"

Vettel : "Oui. Je ne sais pas à quel point vous vous aimez Lewis [Hamilton] et toi, mais Kimi et moi nous entendons très bien, donc je pense que c’est dommage."