[Actualité] Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi

Tang a écrit:Eh bien cela a pourtant été le cas. Tu peux juger cela illégitime, mais c'est un fait. Et le fait qu'il gicle me semble traduire un retour en force des ingénieurs au sein du management.

Le portrait-robot est le suivant. Il faudrait un industriel, idéalement un «pro» de l’automobile qui ait fait ses classes chez un constructeur ou, à la limite, chez un équipementier. Il faut avoir de l’expérience, mais aussi du temps devant soi (soit une tranche d’âge idéale de 48 à 55 ans). Il faut avoir du charisme et de l’ambition, et en même temps être prêt à former un tandem avec le président Jean-Dominique Senard. Il faut connaître l’international, sans méconnaître la France dont Renault est un pan de l’histoire industrielle. Il faut être français, ou au minimum parler français. Et entendre, à défaut de le parler, le japonais de Nissan pour relancer l’Alliance, et puis maîtriser la langue de l’État actionnaire, cet idiome complexe qui suppose plusieurs niveaux de lectures.

jeremy.klaxonne a écrit:Mince, à 2 ans près, je rentrais dans la plage d'âge requise.

jeremy.klaxonne a écrit:Je pose ça là ici, une interview qui aborde les sujets de la coopération Renault-Daimler, du futur de Renault dans le segment de la Twingo, de l'électrification de la gamme Dacia :
https://europe.autonews.com/automakers/renault-exec-commits-minicars-and-outlines-next-phase-daimler-deal

Ali Kassai a écrit:What we tried to do with the Captur was keep the function but add more style and design. It's about emotions, and the car industry is partly about rationality, and partly about emotions.

Q : Renault will soon launch new electric vehicles on a dedicated EV platform developed with Nissan. Will that mean parallel internal combustion and electric vehicles, but on different vehicle architectures?

Ali Kassai : We look at it pragmatically. The issue with having only EV derivatives [of internal combustion platforms] is that there will be trade-offs. But if the customer accepts them, then it's wise to do derivatives from an industrial point of view.

Q : You are not putting industrial logic first?

Ali Kassai : No, our starting point is the customer. I'm an engineer, but I try to forget that I'm an engineer.

Le projet d'un petit "SUV" Mercedes sur base Renault ne verra pas le jour. La firme allemande a dit non. Elle préfère travailler avec son actionnaire chinois Geely. Mercedes s'éloigne de Renault et Nissan, même si les participations croisées, nouées en 2010, subsistent pour l'instant.

alpha a écrit:Il y avait vraiment un projet de Mercedes sur la base du Captur ? Cela me parait moyennement crédible. Ou pour Smart peut-être ?  

L'article contient d'autres infos intéressantes sur la Twingo, ou la non-arrivée de la CMF-A en Europe.


Mercedes n'aura pas son Renault Captur sur base française

Le projet d'un petit "SUV" Mercedes sur base Renault ne verra pas le jour. La firme allemande a dit non. Elle préfère travailler avec son actionnaire chinois Geely. Mercedes s'éloigne de Renault et Nissan, même si les participations croisées, nouées en 2010, subsistent pour l'instant.

https://www.challenges.fr/automobile/actu-auto/mercedes-n-aura-pas-son-renault-captur-sur-base-francaise_680269

JB.AAEL a écrit:C'est surtout amusant en connaissant les voitures qu'il possédait avant son élection.
Rolls Royce Phantom, Série7, Serie 6 Cabriolet, Classe S, Mercedes SL, Mercedes GLS, Range Rover, Aston Martin DB9, Bentley Continental GT...

Challenge's a écrit:Le futur directeur général de Renault devra avoir de l'expérience dans la transformation des entreprises et dans le secteur de l'industrie, des atouts primant sur la question de sa nationalité, a déclaré mardi à Reuters la secrétaire d'Etat Agnès Pannier-Runacher. L'Etat, premier actionnaire de Renault avec 15% du capital, aborde la question avec l'esprit très ouvert, a -t-elle ajouté. C'est le cabinet du chasseur de têtes de Brigitte Lemercier, NB Lemercier & Associés, qui est chargé de trouver la perle rare. Deux profils différents hors automobile tiendraient la corde, selon nos informations: le PDG d'Arkema Thierry Le Hénaff et celui  de Palantir, ex-drecteur exécutif d'Airbus, Fabrice Brégier.